Scopi e Pizzo del Corvo

Commentaire (Traduction automatique en français)

Cela faisait un moment que je voulais escalader le Pizzo del Corvo, un sommet relativement facile de trois mille mètres que j'avais manqué. Je décide de l'atteindre en partant du Passo del Lucomagno en suivant le sentier jusqu'au Scopi. Pendant que j'y serai, je ferai également un détour par ce dernier, puisque je n'y suis pas retourné depuis 2011.
Je commence à marcher du col vers le nord, le long du chemin de terre qui passe au-dessus du tunnel. Après avoir atteint le point à 1970 mètres d'altitude, je prends le chemin qui monte à droite. Jusqu'à une altitude de 2500 mètres, sa pente est assez régulière et on la gravit sans trop d'effort. Puis les 100 mètres suivants sont un peu plus raides mais jamais difficiles. Ensuite, le chemin redevient facile jusqu'à une altitude d'environ 3100 mètres. À cet endroit, le chemin traverse une zone un peu rocheuse où il faut faire un peu plus attention.
Au sommet, il y a une installation militaire avec un radar dont le but est de surveiller l'espace aérien suisse. Au milieu de toutes ces infrastructures, on remarque à peine la présence de la croix à l'intérieur de laquelle se trouve le livre du sommet. Aujourd'hui, j'ai de la chance car, contrairement à 2011, le ciel est dégagé et je peux admirer le panorama environnant.
Après la pause déjeuner, je redescends par le sentier jusqu'à une altitude de 3070 mètres, où je trouve un ravin qui me permet de descendre sur la face sud-ouest du Scopi. À ce moment-là, je traverse une pente pleine d'éboulis, mais elle supporte bien mon poids et ne glisse pas dans la vallée comme je m'y attendais au début. J'atteins ainsi la large crête sud de la montagne, qui me conduit facilement au sommet, qui est répertorié à 3084 mètres. Je commence alors à descendre sur l'autre versant sur une vingtaine de mètres jusqu'à atteindre une chute rocheuse que je passe grâce à un petit ravin légèrement à gauche (T4). Je continue ensuite à suivre la crête jusqu'à atteindre le Pizzo del Corvo. Ce sommet est particulier car il n'a pas un seul mètre de proéminence par rapport à la crête et on ne se rend compte qu'on l'a atteint que grâce au navigateur satellite et au petit cairn en pierre construit presque à l'endroit exact.
Après une courte pause, je recommence à suivre la crête, qui descend maintenant vers l'est, jusqu'à atteindre la Punta del Corvo, à ne pas confondre avec le sommet précédent. A ce stade, je descends dans le Val di Campo le long d'une pente herbeuse assez raide et traîtresse, en raison de l'herbe glissante, avec l'intention d'atteindre le Passo di Gana Negra. Afin de ne pas perdre inutilement de l'altitude, je décide de faire une traversée de plus d'un kilomètre le long du versant sud de la Punta del Corvo jusqu'à rejoindre le sentier venant de l'Alpe di Bovarina. Cette partie s'est avérée être la plus fatigante de tout le voyage et, avec le recul, je pense que j'aurais mieux fait de descendre immédiatement au fond du Val di Campo, même au prix d'une légère perte d'altitude.
Après avoir atteint le Passo di Gana Negra, je descends enfin au Passo del Lucomagno où se termine ce voyage.
Pour ce qui est de l'eau, il y a une fontaine près du parking et puis plus rien.